La Galerie Kraemer,
Des chefs-d’œuvre
qui traversent le temps
et les époques
Des chefs-d’œuvre
Une adresse connue,
et fréquentée par les collectionneurs
les plus prestigieux
Dès le début de son activité, la Galerie Kraemer a accueilli les collectionneurs les plus avisés.
À l’époque, ses célèbres clients français étaient les familles Rothschild, Camondo, le Comte Boni de Castellane…
Mais la Galerie était aussi fréquentée par des familles étrangères comme les Widener, Monsieur et Madame Balsan – Consuelo Vanderbilt, duchesse de Marlborough-Churchill au Château de Blenheim, les Hamilton-Rice, les Sassoon, ainsi que de nombreux collectionneurs et familles aristocratiques d’Europe Centrale et de la Russie prérévolutionnaire, qui venaient régulièrement admirer meubles et objets d’art.
« j’ai visité la galerie
du jeune Kraemer,
rue de Monceau »
J.Paul Getty dans son Journal Personnel vers 1930.
Le fondateur du célèbre musée américain qui porte son nom évoquait ainsi l’arrière-grand-père de la jeune génération.
De très nombreux objets en provenance de la Galerie se trouvent aujourd’hui au J. Paul Getty Museum.
Au fil des ans, la maison a eu le plaisir d’accueillir des personnalités telles que Henry Ford Jr, Jayne Wrightsman, Marie-Louise Carven Grog, Marcel Boussac, Christian Dior, Giovanni Agnelli, Jackie Kennedy, Pierre Berger, Karl Lagerfeld, Michael Jackson pour ne citer que quelques-uns.
Aujourd’hui encore, de nombreuses personnalités nous font régulièrement l’honneur d’une visite.
L’histoire de la Galerie
5 générations
au service de l’art d’exception
Les débuts d’une relation privilégiée avec les grands collectionneurs parisiens.
Dès l’année 1875, le nom de Kraemer brille sur la place parisienne.
Cette année-là, le tout jeune Lucien Kraemer quitte l’Alsace après l’occupation de celle-ci par les Prussiens, préférant rester français. Il s’installe à Paris où il fonde la Galerie Kraemer.
D’abord situé rue de Penthièvre, Lucien s’installe en 1880 tout près de la place de la Madeleine, rue Tronchet.
Dès cette époque, la Galerie Kraemer attire des collectionneurs prestigieux de toute l’Europe.
En 1928, Lucien et son fils Raymond s’installent dans un hôtel particulier à proximité du parc Monceau, faisant ainsi du 43 rue de Monceau le siège de la Galerie Kraemer.
Vers 1925, la Galerie Kraemer, Place de la Madeleine (rue Tronchet) 75008 Paris.
L’Hôtel Particulier
de la rue de Monceau
Une adresse prestigieuse située à quelques mètres de celle des Camondo, amis et clients de la famille Kraemer, à l’époque où leur magnifique demeure n’est pas encore le Musée Nissim de Camondo.
Mais alors que Raymond dirige désormais la Galerie, devenue une institution dans le domaine de l’art ancien, la seconde guerre mondiale éclate.
Le 4 septembre 1942, l’hôtel particulier des Kraemer
était pillé par les nazis. Ici, on aperçoit une caisse marquée KRA
dans la cour carrée du Musée du Louvre.
La reconstruction
après la guerre
Après la guerre, Raymond et son tout jeune fils Philippe décident malgré tout d’aller de l’avant et reprennent leur activité d’antiquaire dès 1945.
Ensemble, ils reconstruisent petit à petit la Galerie et se promettent que :
« Même s’il ne devait plus y avoir qu’un ou
deux meubles dans chaque pièce, ils seraient d’exception ».
Raymond Kraemer
Gardant ainsi intacte la philosophie de la Galerie.
Après deux décennies d’efforts, la Maison retrouve enfin sa place parmi les leaders sur le marché des meubles et objets d’art du XVIIIe siècle, en présentant déjà ce qui était probablement le plus grand choix d’objets de qualité muséale au monde.
Vers 1970, les fils de Philippe, Olivier et Laurent s’impliquent à leur tour dans les antiquités, en maintenant un haut niveau de qualité et en contribuant à l’extension de la Galerie.
Les années 2000,
la cinquième génération
poursuit la tradition familiale
Sandra (la fille de Laurent), Mikaël et Alain (les fils d’Olivier) lancent à leur tour la Galerie sur le chemin de la modernité.
Accompagnant le mobilier ancien, les murs de l’hôtel particulier sont désormais garnis d’œuvres modernes et contemporaines.
Les salons du 43 rue de Monceau, permettent ainsi l’organisation d’expositions créatives, en collaboration avec les plus grands spécialistes de l’art contemporain.
Un concept que la dernière génération des Kraemer développe dans des musées et des lieux publics en France et à l’étranger, notamment en Asie et aux Etats-Unis, grâce à des prêts et des expositions.
